Siphadventure – Tome 1 – La Forêt des pandas – Derrien, Siphano et Giuseppe Quattrocchi

La vie n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Siphano va devoir quitter son confort pour l’aventure. Saura t’il s’en tirer ?

Siphano aime profiter de sa maison sur l’île flottante. Toutefois, il ne peut jamais rien faire sans que son voisin et rival Patel vienne se mêler de ses affaires. Il lui fait des remarques sur son physique et sa demeure. Cela commence vraiment à lui chauffer les oreilles, il faut lui faire une leçon de civilité. Sans surprise, les choses tournent à la catastrophe amenant l’amertume des habitants. Les choses problématiques continuent avec un panda roux couché devant chez lui. En plus, l’animal ne veut pas partir et semble ne rien comprendre. La cerise sur le gâteau, on lui rappelle qu’il n’a pas le droit de garder la bestiole. Il n’a rien demandé à personne. Son amie Grace, lui propose d’emmener Pandarou dans son espace naturel. Pourquoi pas après tout, cela lui changera les idées ? Il va pas être déçu du voyage car il n’aura pas le temps de dire ouf. Est-ce le début d’une nouvelle d’aventurier ?

Les fans de l’univers de Minecraft vous être ravis de retrouver un peu de cet univers. C’est au tour du youtubeur Siphano, aux 2,5 millions d’abonnés d’avoir sa propre série en bd après Frigiel et Fluffy. D’ailleurs, le jeune homme de 29 ans sera accompagné au scénario par Jean-Christophe Derrien qui s’occupe déjà de la série sus-nommée. Un artiste déjà habitué aux adaptations avec des réalisations tels que « Le monde des Smileys », « Luraculous, Les aventures de Ladybug et chat noir ». Il a l’habitude manier les histoires pour le jeune public. Le duo arrive avec beaucoup de simplicité à entraîner le lecteur dans une aventure assez légère pour ne pas se faire des nœuds à l’esprit. Les jeunes garçons vont sans peine se retrouver dans le héros, Siphano, égoïste, narcissique et ingrat. Il doit souffrir aussi d’un trouble hormonal. Il s’aime beaucoup et ne doute pas souvent de lui. Côté graphisme, Giuseppe Quattrocchi a lui aussi l’habitude des séries ado/pré-ado avec « Magic 7 ». Il sait s’adapter au public. Ainsi on reste dans l’esprit carré mais avec un peu plus de rondeur. Cela donne moins l’effet jeu numérique en apportant un côté plus chaleureux. Après tout, on parle de sauver un animal dans une jungle hostile avec des zombies. C’est courant apparemment.

Les gameurs en culotte courte verront ici et là les références ce qui va les ravir.

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