L’équipe internationale est maintenant au complet. Il va falloir donner le meilleur de soit pour finir premier. Vont-il y arriver?

4e de couverture
Mark Evans, leader du modeste club de football du collège Raimon, tente de ranimer l’esprit d’Inazuma Eleven, une équipe légendaire composée de membres ayant chacun une technique de jeu foudroyante. Envers et contre tous – notamment la fille du directeur qui a juré la perte du club – ils se lancent à la poursuite de leur rêve !

Mon avis
Sans aucune surprise, le collège Raimon remporte le Football Frontier. Par conséquent, les voilà qualifier pour participer à la sélection pour intégrer l’équipe qui va représenter le pays. Par contre, il n’y aura pas de place pour tout le monde. Il faut se démarquer en donnant le meilleur de soi. Bien entendu Mark Evans et les autres de son équipe sont pris. Pour mettre un élément dramatique, le petit Paul restera dans les gradins pour soutenir ses amis. On aura même le droit à une scène avec gros plan sur le visage d’un bambin les yeux en larmes. C’est la grosse scène d’émotions. Sinon pour le reste, Tenya Yabuno va vite en besogne, comme d’habitude. A peine sélectionnés, l’équipe toujours composée de garçons affronte un autre pays. Malgré un rebondissement improbable, les Inazuma Eleven gagne encore. On se lasse encore et toujours. L’avantage est qu’il ne faut pas très longtemps pour aller de la première à la dernière page. Et surtout, on n’espère plus rien d’étonnant pour les trois tomes restants. L’ennui profond vient surement aussi du fait que l’on soit adulte et que l’on a pu apprécier tellement de créations originales et travaillé. Quand on a 12/13 ans et que l’on est un adepte du ballon rond, on doit trouver un intérêt à ces platitudes. Après tout c’est presque plus palpitant qu’un match de foot à la télévision avec moins de culte de l’égo et de l’argent. Pour l’instant les mineurs apprécient de jouer ensemble et d’être considéré comme les plus forts.

Une suite dans la lignée des tomes précédents que l’on peut résumer par un ballon, de la confiance et de l’ennui.