Yakari – Tome 3 – Chez les castors – Derib, Job et Dominique

Yakari adore profiter de la nature avec son meilleur ami, Petit tonnerre. Par hasard, ils rencontrent des castors qui ont un grand projet. Que veulent-ils faire?

4e de couverture
Yakari et Petit Tonnerre découvrent une colonie de castors affairée à la construction de son barrage. Il y a là Mille-Gueules, l’irascible chef de chantier ; Digue-de-Bois, le vieux sage souriant ; Bois-de-Lit, le roupilleur de service ; Double-Dent, le sculpteur perpétuellement inspiré… et surtout Tilleul l’espiègle, le gamin bondissant. Au cours d’une baignade, cet infernal petit castor a disparu. Yakari le retrouvera en explorant les eaux souterraines de la rivière. Tilleul recevra logiquement sa première fessée (Rude Écorce, son père, a été trop inquiet !) et Double-Dent pourra enfin présenter son chef-d’oeuvre à la colonie ébahie.

Mon avis
Yakari propose toujours une parenthèse pleine de tendresse et de bonté. Ce troisième tome n’échappe pas à la règle. Il est bon de lire ce genre de bd pour les enfants où ils peuvent retrouver une bande d’amis toujours fidèle. Une aventure où il n’y a aucune violence, aucune haine et aucune rivalité. Notre jeune sioux avec sa fidèle monture donnent un coup de main à des castors qui s’installent. Après la fabrication de la digue, ils construisent leur lieu de vie. Un vrai travail qui demande de l’investissement et du collaboratif. Des pointes d’humour sont parsemées entre les pages avec des personnages adorant dormir en toute circonstance ou jouer. Mais il y a quelques rebondissements pour donner du relief au récit. Le coquin de Tilleul a disparu et ses parents s’inquiètent. Impossible de rester à rien faire. Notre fine équipe aidé de Grand Aigle font le nécessaire pour lui mettre la main dessus. Grâce à leur motivation, il va être ramené à sa famille. Comme il n’a pas eu conscience du danger, pour lui c’était juste un jeu dont il est prêt à retenter. Une attitude qui mérite une bonne fessé pour lui faire comprendre la peur que sa disparition à engendrer. Pour la pédagogie douce, il faudra revenir une autre fois. Même cela est amené sur le ton amusant. Tout est léger et sympathique. Parfois c’est peu, toutefois pour des jeunes lecteurs c’est déjà beaucoup. Ils ont encore le droit d’espérer encore un peu.

Une petit moment enchanté où l’on fait la rencontre de Double-dent, Mille-gueules, Digue-de-bois, Tilleul, Rosier Sauvage… Aucun doute qu’on les retrouvera tout bientôt.

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