Un tueur à gage en veut à la peau de Jérôme. Le détective veut casser le business de cette homme qui contre un peu d’argent se débarrasse de qui on veut. Alors quand quelqu’un se mêle de quelque chose qui ne le regarde pas. Tout part en vrille.  

4ème de couverture
Jérôme n’est plus en sécurité nulle part. Que ce soit chez lui ou chez Babette, sa fiancée, un sinistre individu le piste sans répit, bien décidé à le faire passer de vie à trépas.

L’imagination du tueur est sans limites pour mener à bien ses sombres desseins : cela va du classique tir nourri dirigé vers les fenêtres de notre héros au serpent à la morsure mortelle déposé sous sa couette. Jérôme est dans de sales draps, au propre comme au figuré. Car si les serpents changent de peaux, Jérôme n’en a qu’une. Et il y tient ! Pour se sauver, notre ami est prêt à tout, à mordre en premier s’il le faut…

Ce que j’en ai pensé? 
En voulant aider une jeune fille, notre détective s’est mis à dos un homme violent à dos mais surtout un tueur à gage. Et lui, il a la rancune tenace. Après un serpent dans l’appartement de Babette, se sont des balles à travers les fenêtres du logement de Jérôme et ce n’est qu’un début. Va falloir que le détective active ces neurones pour se sortir de cette situation. Et pour une fois, ce n’est pas l’hôtesse de l’air qui va lui sauver la mise.

Alain Dodier dépose petit à petit des cailloux pour construire l’intrigue. Le suspens monte progressivement. Je me demandais même qui allait pouvoir sauver notre petit gars à lunette. Et la surprise était de taille. Jérôme devient vraiment un détective qui développe ces capacités. Le scénariste doit être un fan de roman policier pour savoir aussi bien raconter des histoires. Le deuxième tome est un vrai délice de lecture qui se dévore très vite.

Une nouvelle aventure très surprenante et une conclusion explosive. Jérôme devient une vrai référence dans la bd policière.