Le combat ordinaire c’est tout d’abord d’histoire d’un gars ordinaire. Il ne sait pas ce qu’il veut, ni où il va mais il avance quand même.

Marco fait un premier choix décisif : arrêter de voir son psy. Je crois qu’on peut dire que vous développez des comportements profondément obsessionnels accompagnés de névroses diverses, obsessionnelles, elles aussi…. Puis il passe voir son frère, Georges, qui lui a réussit professionnellement et affectueusement. Il partage sa détresse de photographe de guerre et souhaite un nouveau départ. J’ai gagné assez de pognon ces dernières années avec mes photos en Birmanie et en Kabylie pour être tranquille à peu près un an… de toute façon, je n’ai palus envie de repartir. 

Après discussion avec son frère, il décide d’aller voir ces parents qu’il n’a pas vu depuis très longtemps. Son père avait la guerre d’Algérie, mais ce dernier ne souhaite pas lui en parler. Tu ne m’as jamais parlé de la guerre d’Algérie… Parce qu’il n’y a rien à en dire. Maintenant, il n’a pas plus qu’une seule envie de rentrer chez lui au calme, dans sa maison perdue dans la campagne, avec son chat. Assez vite apparaît la solitude et les crises d’angoisse. Les balades dans la forêt et la reprise de l’appareil photo le libère. Surtout après rencontré un petit papi tout tranquille et surtout une très charmante vétérinaire. L’amour va toquer à la porte de son coeur, mais voilà cela implique des changements. Est-il prêt pour cela? Est-il prêt à entendre l’histoire de son père?

Une belle aventure livresque à la découverte d’un homme auquel je me suis vite attachée et parfois identifiée. Une seule envie après avoir fermé le livre : lire la suite.