Olympia Kyklos – Tome 1 – Mari Yamazaki

La pression est importante sur les épaules de Démétrios. Tout le village se repose sur lui pour trouver des solutions à des problèmes. Heureusement que des voyages temporels vont lui permettre de découvrir de nouvelles choses.

4e de couverture
Grèce, IVe siècle avant notre ère. Démétrios, malgré ses aptitudes sportives, ne rêve que de vivre de son métier de peintre sur céramique. Et de ravir le cœur de la belle Apollonia, la fille du patriarche… Mais le voici désigné par ses concitoyens pour résoudre le conflit qui les oppose à la cité voisine! Alors qu’il se lamente sur son sort, la foudre frappe, Démétrios est projeté dans le Tokyo de 1964, en plein Jeux Olympiques ! Y trouvera-i-il le moyen de sauver son village ?

Mon avis
Il y a des hasards qui permettent de tomber sur des séries audacieuses. On se plonge dedans les yeux fermés et nous voilà projetées en Grèce antique. Nous voilà dans un petit village où l’on rencontre Démétrios. Il adore nager avec les dauphins et dessiner. On lui met la pression pour qu’il s’entraine en prévision des jeux Olympiques. Il n’en a pas envie d’entrer dans un principe de concurrence et de violence. En attendant, on lui demande de prendre des responsabilités importantes où l’avenir du village en dépend. Comment pourrait-il arriver, lui le poltron? Grâce à un ingénieux principe, le voilà projeté dans le futur au Japon. Par chance, à chaque fois il rencontre un japonais qui maîtrise sa langue. Ce voyage temporel rappelle une autre série « Thermae Romae ». Est-ce une copie d’un bon concept? Que neni. Mari Yamazaki est la mangaka des deux séries donc normal qu’elle a utilisé un principe audacieux. Rien de tel pour souligner une problématique et trouver une solution ailleurs. On peut se demander si c’est le passé qui a influencé le futur ou l’inverse. C’est une bonne manière aussi de comparer des pratiques, des usages et des rituels. Et aussi d’évoquer des faits historiques réels avec une approche originale et drôle. La lecture est passionnante de la première à la dernière page. Le côté assez drôle repose sur les hommes nus dont on ne voit jamais leur pénis. Il faut être fidèle mais pas trop non plus. C’est amusant.

Un manga étonnant qui donne envie d’aimer l’Histoire et d’aller plus loin.

L’avis Les Blablas de Tachan : « Je vais donner sa chance au tome 2 pour confirmer ou infirmer mais si c’est pareil, je m’arrêterai là car ce n’est pas ce que je cherche. »

9 commentaires

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s