Le collège Raimon a perdu de son aura d’autant. Quelle chance qu’Arion Sherwind a décidé d’intégrer l’équipe pour redorer la réputation. Sera t’il à la hauteur?
4e de couverture
Dix ans après les exploits de Mark Evans et ses compagnons au collège Raimon, une terrible organisation criminelle menace tous les joueurs du monde entier. Nul n’ose la défier, jusqu’à l’arrivée d’Arion Sherwind. Les rêves de ce dernier: gagner au sein de l’équipe Raimon, mais aussi ressusciter la légende des Inazuma Eleven ! L’enthousiasme et le courage de ce nouveau venu seront-ils suffisants pour insuffler à ses camarades l’énergie de la victoire ?
Mon avis
On aurait pu croire que la série Inazuma Eleven aurait suffit à elle-même. Bien que le succès du jeu et de l’animé n’ont pas été remis en cause, tout aurait pu s’arrêter là. Et bien non, nous avons le droit à une suite : « Inazuma Eleven Go ». Est-ce que l’on va avoir droit à quelque chose de nouveau? de moins classique et prévisible? Pourvue que l’on ne ressorte pas les recettes du succès des vieux pots. Après Mark Evans, c’est au tour de Arion Sherwind. On retrouve un gamin hyper-enthousiasme qui se donne à 2 000%. Qu’importe si son équipe doit perdre, s’il faut perdre c’est avec panache. Là les choses vont beaucoup plus vite. Plusieurs joueurs de l’école Raimon montrent qu’ils ont une aura très performante quand ils courent après un ballon. Les adversaires sont des méchants en puissance sans pitié. Mais rien n’est gagné pour autant. N’est-on pas dans un scénario relativement binaire avec des gentils d’un côté et des méchants de l’autre. Le suspens est totalement absent quand on se demande qui va l’emporter. Pour bien insister sur les vilains, on nous montre que les entraîneurs n’hésitent pas à mettre leur vie en jeu qu’importe s’ils ne pourront jamais refaire du foot. Notre empathie devrait se mettre en marche et dire : « oh, les pauvres ». Malheureusement le fil est tellement gros, qu’on ne mort pas. On tourne les pages avec l’envie d’arriver au bout et surtout de pas recommencer. J’abandonne la série ici. Manifestement, il faut avoir entre 10/14 ans pour apprécier ce genre d’histoire après c’est trop tard.
Un manga sur le foot qui va combler les pré-adolescents. Pour les autres qui sont devenus trop grands, fuyez.
Les coiffures à la Dragon Ball (cheveux en l’air) 😆 Je passe mon tour aussi !
là il y a un peu de tout en coiffure. Pour des japonais, ils portent tous des noms anglophones. Et puis je crois que je n’aime pas le foot ni en bd, ni en manga, ni à la télé et ni en vrai. Les soirs de matchs avec des gars bourrés dans les transports en commun rajoute une dose de mécontentement.
Nan, je regarde peu le foot aussi, hormis quelques matchs de chamion’s league, style la finale et encore….
tu paies pour regarder les matches ou ils passent à la télé?