Kumiko ne supporte pas l’injustice. Alors quand il faut agir, elle démarre au quart de tour. Et parfois cette énergie mal canalisée fini par générer quelques problèmes.
4e de couverture
“Comprends moi, mon petit Shin… Ces types, c’est rien de moins que de la pourriture sur pattes qui n’hésite pas à s’en prendre même à des yakuzas. Et je voudrais pas risquer d’abîmer ton joli minois !” Kumiko Yamaguchi… encore elle. Professeur principale de la Tle-4, plus soucieuse que jamais du bien-être de ses élèves chéris !
Mon avis
Kozueko Morimoto décide de poursuivre quelques récits précédemment lancés et en commence de nouveau. Il reste 5 tomes pour venir à bout de toutes ces initiatives. Comme on le présentait dans le tome précédent, nous avons le droit à quelques scènes de baston et Kumiko va être de la partie. Elle va botter le cul de ces petits jeunes qui ne respectent ni les yakuzas et ni la police. Attention, il n’est pas question ici de meurtres avec son lot de sang. On met à terre au même niveau que leur égo. L’enseignante aux gros seins est tombée amoureuse de son preux chevalier. Elle ne parlera plus à sa copine si elle ne le lui présente pas. La déception risque assez importante. Shin ne veut pas rater ça. Nous en saurons plus au prochain épisode. Un problème grave aussi pointe le bout de son nez avec des élèves d’un lycée d’élite qui commet des méfaits en accusant les élèves de son école. Encore une injuste à combattre. Pourtant, il faut au-préalable chercher à comprendre pourquoi ils agissent ainsi. Comment faire pour récolter des données? Aucun doute qu’un fin stratagème se mettra en place. De ce fait, le lecteur n’a pas le temps de s’ennuyer car il y a encore et encore des rebondissements. Par contre, on retrouve les discussions entre Shin et le chien de la famille de yakuzas. C’est toujours assez étrange et très bizarre. Est-ce que le mangaka avait besoin de se changer les idées en faisant cette digression comme certains mangas? Espérons que c’est juste dans deux tomes et qu’enfin les choses se mettent à évoluer dans les autres tomes.
Un tome qui s’est dévoré d’une traite car on s’est attaché à l’héroïne qui en a dans sa culotte.