La rose écarlate – Tome 4 – J’irais voir Venise – Patricia Lyfoung

Maud et Guilhem sont sur les routes pour se rendre à Venise. Ils veulent trouver les coupables et préserver le monde d’un chaos. Mais la route va être semer d’embûches. A coeur vaillant rien d’impossible. Alors vont-ils arriver à sauver la planète? 


De quoi ça parle? 
Le duo de choc partent sur les routes pour partir à Venise où ils vont voler aux riches pour donner aux pauvres sous leur double identité. Arrivée sur place, ils vont aller loger chez le cousin de Guilhem, le séduisant Fanelli Cardano. Il est tombé sous le charme de Maud et ne va arrêter de la séduire. Ce qui n’est pas trop au goût du binôme. Serait-il jaloux?

Afin d’expliquer sa présence sur place, il va devoir lui raconter toute l’histoire. C’est avec plaisir qu’il va tout faire pour les aider. Mais voilà, les vilains sont déjà dans la place et leur réseau est plus important que le leur. En plus, ils ont l’influence nécessaire pour noircir leur image de justicier.

Suite à des combats bien musclés, Venise va être fermé. Mais c’était sans compter le réseau de Fanelli. Les pirates ne sont pas toujours des êtres honorables toutefois se sont des êtres fidèles à leurs promesses. Alors maintenant qu’ils peuvent voyager, direction la Cappadoce.


Ce que j’en pense?
Le voyage se poursuit et le mystère s’épaissit. Maud et Guilhem forme un duo très complémentaire qui se rapproche de plus en plus. Notre jeune héros devient possessif avec la demoiselle. Doucement, les choses se mettent place dans l’intrigue. Les vilains accumulent les objets pour arriver à leur objectif chaos et bien entendu, ils y arrivent sans souci. Ainsi le suspens monte en intensité très calmement. 

La sauce est toujours la même. Le duo court après les vilains et ils arrivent toujours trop tard. Entre temps, il y a eu une dispute entre eux et un rapprochement. Pour montrer la montée de l’émotion, il y a une mini-scène de jalousie. Et pour mettre un peu de piment, on y met des scènes de cap et d’épée. On mélange le tout et cela nous donne une petite histoire avec peu d’information et une affaire à suivre. 

Patricia Lyfoung malgré quelques clichés et référence à la littérature de genre, impose des personnages féminins. Pas de personnage solitaire en quête de leur identité. Juste deux jeunes gens qui découvrent la vie dans l’aventure. Maud, malgré le fait qu’elle soit impulsive avance toujours tête baisée et n’accepte jamais un n on. Elle veut sa vengeance et n’a peur de pas grand chose. Tenue en cuir moulant, décolleté sur belle poitrine, une touche de rouge et hop elle est prête à compter fleuret. Et puis, n’oublions pas ce capitaine de bateau pirate. Les femmes étaient interdites car elles porteraient malheur. Mais le courage n’a pas de sexe. 

A la fin de la chaque tome, on y trouve une autre aventure, mais plus courte. C’est l’histoire du cochon écarlate, un super cochon vengeur. C’est la touche manga. 

Un nouveau tome qui donne quelques éléments qui me donne envie d’en savoir plus. 

Lire mon avis sur le tome 1, le tome 2, le tome 3

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