Kozakura aime son travail. Surtout qu’elle peut partir à heure fixe pour rentrer chez elle jouer. Un jour, un petit animal va changer sa vie.
4e de couverture
Kozakura, 29 ans, célibataire et fière de l’être. Son but dans la vie : consacrer la moindre minute de son temps libre aux jeux vidéo. Mais voilà qu’un nouveau joueur fait son apparition dans sa vie : un petit chat tout ce qu’il y a de plus réel, qui va bien l’occuper entre deux parties… Car cohabiter avec un félin plein de vie, ce n’est pas pour les petits joueurs, et la gameuse va le découvrir à ses dépens !
Mon avis
Wataru Nadatani a trouvé deux éléments tendance. Nous avons d’un côté les jeux vidéos avec une gameuse et de l’autre un jeune félin qui a besoin d’amour. Les deux réunis ne peuvent que donner des aventures amusantes et attachantes. Kozakuza fait son boulot dans les temps afin de rentrer chez elle pour jouer en réseau. Chaque jour, c’est son plus grand plaisir. Jusqu’au moment où au travail, elle accepte ponctuelle d’adopté un chaton. D’un regard, c’est le coup de foudre. Elle ramène la boule de poil à son domicile. L’un doit s’adapter à l’autre. Le charme opère aussitôt. Les rebondissements ne manquent jamais surtout quand on voit la découverte du monde par les deux nouveaux meilleurs amis. L’une adore le contenu de la boîte et l’autre est ravi du carton ainsi que des papiers de protection. Ou encore, l’animal s’amuse à bondir sur ces mains pendant qu’elle joue. Un grand moment de partage et d’adaptation. C’est charmant et attendrissant. La lecture permet une vraie détente et de sourire. Comment résister aux regards pleins de tendresse d’un petit chat ? Les fans de minous risquent d’être enchanté.
Un manga qui apporte de la légèreté et redonne le sourire tout simplement.
L’avis de La pomme qui rougit : « En bref, c’est un manga rempli d’humour et je pense que s’il y a des gameurs qui ont des chats qui me lisent, vous vous y retrouverez en lisant ce titre. C’est vraiment un manga idéal pour se détendre et ne pas se prendre la tête ! »
Rien qu’en te lisant, je suis attendrie 🙂
les souvenirs d’un chaton avec des grands attendrissants font échos.
Ouf, le mien ne saute pas sur mes genoux quand je suis à l’ordi ! Sa mère le faisait, mais elle, elle avait été adoptée toute toute petite :p
tu as pu lui apprendre les bonnes manières 🙂