Après quelques rebondissements, le collège semble trouver une nouvelle sérénité. C’était avant l’arrivée d’un enquêteur hors du commun. Va t’il fermer l’établissement à cause de Guillaume?

4e de couverture
Thomas a des poils qui poussent, Dragounet est incontrôlable, les trolls et les lutins jouent à cache-cache dans la cour, les astreux boulottent le mobilier tandis qu’un inspecteur d’académie se tâte pour fermer le collège. Et guillaume dans tout ca ? Il est toujours aussi nul en magie. Bref, c’est une journée ordinaire au collège invisible.

Mon avis
Ange continue à donner à son histoire beaucoup de dynamisme. Maintenant que le cadre est posé avec l’école, les entrainements avec des soldats d’un côté et des magiciens de l’autre, des groupes assez disparates sans oublier un bébé dragon. Le héros assez fainéant et maladroit est au coeur de tout le chaos qui s’organise. Un surveillant vient haut gradé vient surveillé ce qui se passe et à la moins incartade c’est fini. Mais comment éviter le moindre problème? Bien entendu ce n’est pas possible. Surtout que Thomas a été mordu par un loup-garou et maintenant c’est à son tour de se transformer. Il sont la plus grande phobie de Radoval Sohar. Un moment ou à un autre tout tourner à la catastrophe pour au mieux amuse le lecteur. L’école est fermée, la boule de verre qui isole l’institution est attaquée par un dragon, les loups-garons et les petits êtres sortent de leur cachette… Par chance Guillaume va sauver la situation en comprenant pourquoi le dragon a attaqué, il est simplement gourmand comme Dragounet. Et puis, l’élève le plus le cafteur se dénonce et risque sa vie. Ce n’est pas parce que l’on est jaloux et mauvais qu’il faut se venger tout de suite. Une punition sera plus efficace. Tout rentre dans l’ordre pour combien de temps? On le saura dans la suite bien entendu. Les rebondissements sont nombreux et l’on a jamais le temps de s’ennuyer. Une nouvelle fois la scénariste fait un clin d’oeil à Harry Potter qui devrait être plus présent dans le troisième tome. Pour respecter les codes du genre, on voit des être fantastiques et bien entendu des femmes avec des poitrines opulentes. Sans omettre de mettre avec des tenues très moulantes, courtes contrairement aux hommes bien habillés. Les adolescents le voient bien que l’apparence est la plus important à l’école. La culture populaire renforce cette fausse réalité. Est-ce possible de faire du bien au-delà des clichés? En tout cas, ce n’est pas cette série qui le fera.

Un élève qui mène au chaos peut-il apporter quelque chose de plus?