Pas de repos pour les braves. Yû Katsumi est à nouveau sur le devant de la scène bien malgré lui. Une journaliste veut impérativement le mettre en avant car l’homme intrigue.
4ème de couverture
Petit à petit, Yû Katsumi se constitue une véritable équipe à la clinique Minatono. Mais il lui manque encore un anesthésiste pour l’assister lors des opérations… Il jette alors son dévolu sur Ryûsei Okita, un ancien collègue qui a perdu l’usage de ses jambes à la suite d’un accident.
Seul problème : obnubilé par sa soif de vengeance, le jeune homme en question n’est pas du tout disposé à le rejoindre…
Mon avis
Exit la mère avec sa tumeur et sa petite fille qui pleure tout le temps. Nous voilà de nouveau sur les chapeaux de roue car une journaliste vient mettre son nez dans ces affaires. Le docteur Lucifer veut juste sauver les gens et c’est tout. Elle voit plutôt un homme prêt à tout pour avoir de l’argent quitte à soigner des malfrats. Quand un certain docteur Wiseman, elle va le voir pour en savoir plus sur cette énigmatique professionnel. En cherchant, elle va se mettre dans un sacré pétrin où par chance tout le monde s’en sortira indemne. Naoki Serizawa nous mène parfaitement par le bout du nez avec une énergie et un dynamisme très précis et structurés. Il arrive avec beaucoup d’ingéniosité à introduire des nouveaux personnages avec l’anesthésiste, la journaliste et Kate. L’équipe s’étoffe car il y a toujours des personnes à aider et des gens compétent sont là. En plus, le mangaka ne s’attarde pas à mettre des histoires d’amour à l’eau de rose. Ce n’est pas du tout utile et cela ne manque pas. Il ne perd pas de temps en futilité. Mais la série s’arrête dans un tome déjà. Comment mettre fin à toute cette construction qui nous donnerait envie d’aller plus loin? Le juste équilibre entre le peuple pauvre et les yakuzas aurait pu aller encore plus loin. Les gens qui tendent la main par altruisme sont bien rare. Quel fin satisfaisante va proposer l’artiste? L’attente sera de courte durée.
Un manga qui nous en haleine page après page et tome après tome. La déception repose que c’est le pénultième tome.
22h05 rue des Dames 
Ah, là j’ai lu tous les tomes et j’avais adoré !!!
je n’ai pas trouvé les chroniques sur ton blog!!!
Je trouve que la fin est un peu facile. On s’arrête comme ça.
Heu, je pense que je n’ai pas fait de fiches, je les avais emprunté à la biblio et je t’avoue que je me souviens plus du tout de la fin…
Oups !
Il n’y a pas de fin. C’est comme si on nous avait inclus dans un moment de vie c’est tout. Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu une série avec ce choix scénaristique.
Tiens, bizarre, je n’ai pas souvenir de cette fin là… tu as bien lu les 6 tomes ? J’ai loupé un truc, moi ? Faudrait que je le feuillette à la biblio….
Ou alors, oui, je vois ce que tu veux dire, il continue à la clinique, le manga n’était que la partie expliquant comment il y était arrivé, ce qu’il y avait fait et comme il reste à la clinique, la vie continue mais nous ne la verrons pas… c’est ça ?
Tout à fait. La vie continue sans nous 🙂
C’est pratique aussi comme choix. Et au besoin le mangaka peut reprendre ou pas.
Bah, comme dans la réalité, la vie continue sans nous…
Tu vois, aujourd’hui, c’est toi qui me fait voir une chose que je n’avais pas vue, ou oubliée 😆
tu as oublié c’est tout surtout dans la masse de lecture que tu as faites 🙂
J’oublie beaucoup
Ton disque dure n’est pas extensible. Et plus tu vieillis et moins tu en auras. Tu accumules des bons moments qui contribuent à passer du bon temps.
Merci, je me sens regonflée à bloc, là, grâce à toi ! MDR
Je m’en vais voir si je peux me suicider avec du yaourt périmé… 😆
si cela ne marche pas est-ce que tu te souviendras que le yaourt périmé n’est pas une méthode sure? 😉