Fabergé – Les objets du désir – Arte

Même si l’on ne sait pas vraiment à quoi cela ressemble, l’oeuf Fabergé évoque quelque chose. Pourquoi ne pas partir à la découverte des origines de ce fabricant hors norme? et surtout voir à quoi les premières créations ressemblent?

Direction la Russie à l’époque des Tsars où Carl Fabergé révolutionne la joaillerie. Pour Pâques 1885, Alexandre III lui commande un oeuf pour sa tendre épouse Maria Feodorovn et à partir de ce jour cela deviendra une tradition. A chaque fois, la création sera des plus sublimes et étonnantes cela donne envie de les voir en vraie. Selon la marque 50 oeufs auraient été fabriqués avant la révolution bolchévique et 43 ont survécu. Toutefois, cela reste impossible car il faut aller en Russie pour cela. On se contentera de regarder le documentaire et d’admirer les non-limites de l’imagination humaine.

Un reportage intéressant qui donne envie d’aller s’en prendre plein les yeux dans les musées d’art décoratif.

Lien : https://www.arte.tv/fr/videos/087421-000-A/faberge-les-objets-du-desir/

Description officielle
« Retour sur la carrière du Russe Carl Fabergé, qui conquit les tsars avec ses célèbres œufs de Pâques et révolutionna la joaillerie à l’aube du XXe siècle.

Comment Carl Fabergé (1846-1920), fils d’un modeste bijoutier de Saint-Pétersbourg, descendant de huguenots expulsés de France en 1685, est-il devenu le joaillier des tsars ? Grâce à un petit œuf de Pâques en or, émail et pierres précieuses qu’Alexandre III lui a commandé en 1885 pour son épouse Maria Feodorovna. Réservés à la famille impériale et à quelques richissimes clients, ces objets raffinés, passés à la postérité, ont tendance à occulter l’immense diversité de sa production. Sculptures miniatures d’animaux, horloges, étuis à cigarettes, jumelles de théâtre… : en s’appuyant sur la créativité débordante de son frère Agathon et sur un réseau de talentueux fournisseurs, chefs d’atelier et sous-traitants, Carl Fabergé a donné naissance à un monde féerique et révolutionné la joaillerie. Plébiscitées par une aristocratie déconnectée des réalités sociales de son temps, mais aussi par la bourgeoisie industrielle, ses flamboyantes créations se sont diffusées dans toute l’Europe au travers des présents que le tsar distribuait lors de ses visites à l’étranger. Glissées dans les valises des exilés et vendues par le pouvoir bolchevik après la révolution de 1917, les œuvres de la maison Fabergé, chargées d’histoire, suscitent aujourd’hui la fièvre des collectionneurs.

Entrepreneur de génie 
Narré par Elsa Lepoivre (En thérapie), de la Comédie-Française, ce documentaire déroule la saga d’un entrepreneur de génie qui éleva la joaillerie au rang d’art tout en mettant sur pied une industrie des cadeaux. En archives et zooms sur des pièces emblématiques, il retrace l’éblouissante carrière de ce visionnaire dont le destin épousa celui des Romanov, du rayonnement à l’effondrement, ses mythiques œufs de Pâques livrant en filigrane la chronique politique et intime du règne d’Alexandre III et de Nicolas II.  « 

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