Negima – Tome 1 – Ken Akamatsu

Un professeur remplaçant arrive et c’est tout un équilibre scolaire qui est remis en cause. Negi va faire de son mieux. Qu’a t’il de si particulier?

C’est la rentrée et tout le monde se précipite. En effet, arriver en retard n’est pas du tout accepté surtout dans un collège japonais. Dans cette foule de fille, on trouve un jeune garçon qui peine à se faire un passage. D’ailleurs, Asuna très vite s’en prend à lui quand il fait une prédiction sur un amour impossible. Elle rêve de sortir avec le professeur Takahata. Furieuse de cette révélation qu’elle refuse d’accepter, elle s’en prend violemment à lui. Heureusement, que l’homme de son coeur intervient pour lui sauver la mise. Ce gamin d’à peine 10 ans est leur nouveau professeur d’anglais. Il va falloir être gentille avec lui qu’on lui demande. Ce n’est pas du tout du goût d’Asuna qui se faisait une grande joie de retrouver cette homme qui la fait chavirer. En plus, son grand-père lui demande de l’héberger dans sa chambre. Vraiment, elle n’a pas de chance. Il fait de son mieux pour se faire entendre et avoir le respect de toutes les étudiantes de sa classe. Ce n’est pas facile surtout quand il éternue, les vêtements des filles s’arrachent. Encore un long chemin attend notre apprenti magicien dans la maîtrise de ces dons.

Un manga qui va ravir le jeune adolescent pré-pubère où les hormones commencent à s’exciter. L’histoire mélange un peu de magie et de très jolies filles aux formes très généreuses. Il faut croire qu’au Japon, les mineurs possèdent une plastique de rêve avec un corps très mince, des cheveux long et des énormes paires de seins. On nous aurait menti. D’ailleurs, on assistera à un concours de celle qui possède la plus grosse paire pour avoir le jeune professeur dans sa chambre. C’est bien connue que c’est une activité courante chez les filles. Ken Akamatsu ne serait-il pas un pervers? Surtout que notre personnage principale, magicien, à la particularité d’éternuer si fort qu’il peut juste soulever les jupes des filles jusqu’à aller arracher les vêtements des demoiselles, parfois même jusqu’aux sous-vêtements. C’est une bonne occasion de voir des filles à moitié nues ou nues. Tout est prétexte pour se rincer l’oeil. Mais la morale est préservée car les tétons sont cachés alors tout va bien. Au final, le fil conducteur de l’histoire reste bien maigre. En refermant ce premier tome, une seule chose nous reste à l’esprit des nénés, des nibards, des boobs, des seins… et rien d’autres. L’auteur inclut une bonne dose d’humour avec beaucoup de sympathiques blagounettes. Aucun doute que le bébé mâle va adorer cette lecture et va prendre plaisir à poursuivre l’aventure.

Un premier tome qui donne le ton d’une série pour ceux qui aime les belles plantes mineurs à très fortes poitrines.

17 commentaires

  1. J’avais lu quelques tomes quand j’étais plus jeune mais je ne me souviens pas du tout de mon ressenti à part « histoire sympa, je crois ». Clairement, ça ne m’attire désormais plus, je sens que ça me déplairait.

    • c’est pour ça que je vais leur offrir le premier tome et non leur prêter 🙂 La question, est est-ce que je dois joindre des mouchoirs ou chaussettes en bonus ou est-ce que cela sera mal vu par leurs parents?

      • PTDR !!!

        Pour les mouchoirs, ça passera, en covid19, il est bon d’avoir des klennex… Pour les chaussettes, mets-en deux, ça fera la paire et passera plus facilement. Juste que maman se demandera ce qui colle dans la chaussette… 😆

      • les gros paquets de chaussettes blanches de sport pas cher et toute moche. Peut-être qu’ils ne comprendront pas??? Tu penses que je dois noter pollution nocturne?? 😉

      • Ou « dessine-nous une carte d’un pays »…. 😆

        Gaffe, ils pourraient utiliser les chaussettes blanches et moches dans les sandales, comme les touristes allemands…. 😆

      • Des trucs de gonzesses, normalement, les marques… si les gamins s’y mettent aussi 😆 Marketing quand tu nous mènes par le bout du nez (ou de la bite).

      • tu images le gars qui marque sur son cv en spécialité marketbite et markandleslip pour dire qu’il est multicompétence… Ca doit exister 🙂

      • On engage sans doute ce genre de gars dans les magazines motos, faut des grosses couilles et quand on se fait peur, il n’est pas rare d’avoir la trace de freinage dans le slip…

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