Entre les critiques venimeuses sur le site de la bibliothèque et l’inculpation d’Iku pour dissimulation de livres, la bibliothèque ne connaît aucun répit. Dojo et son équipe vont être sur le coup pour défendre l’une d’entre eux. L’aventure ne fait que commencer.

Un des bibliothécaires dépose sur le site de la bibliothèque des critiques venimeuses sur de très nombreux ouvrages. Même si la mention, que cela ne reflète pas l’ensemble des avis du personnel cela est assez mal pris aussi bien par ces collègues que par des usagers. Iku n’apprécie d’ailleurs pas du tout ce comportement et le fait comprendre au responsable. Pour se venger, il cite son nom dans une histoire de dissimulation de livres. Iku est désignée comme complice à son plus grand désarroi. Elle est considérée comme une pestiférée par ses pairs et doit rester courageuse dans cette difficile épreuve.

Comme les deux précédents tomes, on découvre un personnage annexe à l’histoire. Tezuka, jeune reclus, qui est arrivé en même temps qu’Iku, est bien secret. Son frère, qui est dans le camp adverse, essaie de reprendre contact avec lui. Toutefois, Tezuka ne se laisse pas attendrir par ce geste après l’avoir abandonné pendant des années avec sa famille. D’ailleurs, cette tentative de rapprochement n’aurait-elle pas un lien avec l’inculpation d’Iku ?  Pour le savoir, il faudra lire la suite. Sinon, pas de scène torride dans ce tome qui est plus psychologique que les autres.

L’union fait la force, c’est cela qui permet à Iku de rester debout malgré le rejet des autres étudiants. Dojo sait qu’elle est innocente et qu’elle est forte. Va-t-elle résister à cette épreuve ? Son amour du livre et l’honneur de sa fonction vont-ils lui donner la force nécessaire ?