Sherlock Holmes inspire tous le monde. C’est ainsi que la collection Détective chez Claude Legrand Editeur essai de rendre hommage au détective à travers de très nombreuses aventures dont celle de La béquille d’aluminium. Prêt à aller à la rencontre de l’ancêtre de Dracula et de Raspoutine?
Résumé
Sherlock Holmes et son fidèle Watson sont appelés en Transylvanie par le comte Pokol, un des descendants du fameux comte Vlad Dracul, rendu célèbre par le roman de l’écrivain anglais Bram Stocker.
Certes, le comte Pokol ne croit pas aux vampires, mais les vampires, eux, croient à Pokol et en profitent pour terroriser le manoir et ses habitants.
Mais s’agit-il de vampires ? Holmes n’en est pas convaincu, d’autant que le cocher du comte, l’énigmatique Orga, est troublant.
Sherlock et Watson se mettent en chasse. Une chasse qui va les mener à Saint-Pétersbourg où ils rencontreront le moine fou Raspoutine; un être qui – déjà – les déteste…
Mon avis
C’est en solidarité avec Belette que j’ai décidé de lire cette découvrir cette collection. En effet, c’est une série que j’ai commencé avec ce tome et que je vais terminer avec ce tome. Mais pourquoi vous demandez-vous? Parce que l’horrible dessin va à merveille avec l’histoire totalement incohérente qui nous est présentée.
Sherlock part avec son condisciple en Transylvanie pour aider un conte qui subirait des choses paranormales. Attention, ne croyez pas que c’est Dracula. Ben non, cela serait trop facile. C’est un lointain ancêtre qui lui n’a pas besoin de sang pour vivre. Mais on n’a le droit à la référence quand même au cas où cela ne nous aurait pas du tout effleuré l’esprit. On insiste et on donne comme nom à un nain de passage le nom de Nosferat. N’est-ce pas un peu trop abusé?
Puis, le conte meurt très vite et est retrouvé avec une pièce d’or empoissonnée dans la bouche et une explosion lié un tourne disque qui dit entrée. Incroyable. Mais bien entendu, c’est le serviteur le coupable. Sherlock va aller alors à sa poursuite et demande à Watson de le rejoindre en Russie. Là, il va poursuivre le terrible Raspoutine. Qu’elle est le rapport avec le début? Rien. C’est de nouvelle référence qui sont expliquées et réexpliquées au cas où tu n’aurais vraiment rien compris.
Puis Irène Adler tombe dans l’histoire comme un cheveu dans la soupe. Heureusement que Sherlock est là pour lui sauver la vie. Elle est sous le charme, elle lui avoue même son amour qui semble lui en toucher une sans faire bouger l’autre. Je n’avais qu’une envie, c’était arrivée à la fin. Pourquoi tellement d’incohérence? De plus, le dessin et la mise n couleur sont vraiment horrible. On dirait un travail fait à la va vite et pas du tout soigné. Cela m’a fait pensé au traducteur des romans noirs bâclés pour raison économique. Etais-ce vraiment le cas? A moins, que cela soit du goût de l’époque.
En tout cas, voilà une série qui ne faut pas commencer et passer vraiment à côté. Il y a tellement mieux qu’il serait dommage de perdre du temps avec celle-là.
Lire l’avis de Belette
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Belle solidarité ! Merci, ça me touche, faut avoir des coui**** pour oser la louer après ma chronique !! 😆
Attention, au tout début de ton article tu notes « rendre hommage à l’inspecteur » mais Sherlock était détective, pas inspecteur ! 😛
Qu’est-ce que je ne ferais pas pour ma tentatrice Belette. Et puis lire ton billet et trouver LE livre en question juste après, cela ne pouvait pas être juste un hasard. 🙂
Non, c’était pas du hasard, mais de la chance, un signe, ♫ il suffira d’un signe ♪
Aah, au moins on se marre !
et heureusement 🙂