Bastien Vivès a décider de raconter une histoire inspiré de sa vie. Tout jeune, il a eu une scoliose et son kiné lui a conseillé d’aller à la piscine. Puis à force d’y aller, il va sympathiser avec une charmante demoiselle qui vient aussi très fréquemment. A travers son personnage, il va raconter un peu cette histoire.
Notre personnage principale va devoir aller à la piscine toute les semaines suite à scoliose. Au début, il y va en traînant des pieds puis lorsqu’il rencontra une charmante demoiselle, la motivation fut plus grande. Petit à petit, il sympathise avec elle et va par la même occasion progresser en natation. Il va l’attendre tous les mercredis en espérant qu’elle viendra et qu’il en apprendra plus sur elle. Peut-être même arriver à se voir en dehors des murs de la piscine. Mais cela, la bd ne le raconte pas.
Bastien Vivès a choisi de mettre son histoire dans la piscine très particulière de Pontoise dans le 5ème arrondissement à Paris. Elle a la particularité d’avoir des cabines individuelles dans lesquelles on laisse ces affaires. L’histoire nous est racontée très doucement, on est face au phénomène de l’attente. Alors on découvre la piscine, les joies de la nage et les jeux de l’eau. J’ai aimé la variation des plans comme quand on regarde les gens sous l’eau ou vu de dessus quand on voit la masse de gens qui nagent dans tous les sens. Mais aucune action, aucun suspens, c’est juste une période qui nous est tout simplement raconté. Une occasion de mettre de couleurs bleues pour éventuellement motivé certains futurs nageurs.
Une bande dessinée sympathique qui s’apprécie pour son travail de couleur. Cela m’a rappelé des moments à la piscine même si le sujet du trop de monde n’est pas abordé. Léger et tout lent, on nage à notre rythme entre les pages.
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Oui réaliste peut être un peu trop !
peut-être un peu trop en effet 🙂
Je n’avais pas trippé avec Polina… je ne sais pas si j’oserai celui-ci…
Je vais voi si Polina est à la médiathèque 🙂
Quelqu’un a-t-il la signification des pages 138 à 141 ? Merci
je n’ai pas le livre car je l’ai emprunté dans une médiathèque. désolée