What’s Michael? – Tome 2 – Makoto Kobayashi

Vous croyez que vous aviez tout découvert sur Michael lors du premier tome? Détrompez-vous les chats ont de la ressource pour toujours surprendre. Makoto Kobayashi va vous le prouver.

Micheal est encore papa avec Popo. Ce n’est pas toujours d’être père car on ne peut plus jouer comme avant. Il faut montrer l’exemple. Mais parfois, c’est plus fort que lui de courir après une mouche. Après, tout pour ce genre de chose aussi il faut montrer l’exemple. Sa patience est vraiment mise à rude épreuve surtout quand miniMichael joue avec sa queue. Car un bon coup de croc qu’est-ce que cela fait mal. Et cela finit par une bonne dispute de couple, car parfois il y en a marre. Mais rassurez-vous on retrouve d’autres personnages comme les Yakuzas. Nous en avons qui est terrifié à la vue d’un chat. Il espère que personne ne s’apercevra jamais de sa phobie sinon il n’espère plus grand chose de la vie. L’autre par contre est un fada de son chat qu’il a trouvé chaton dans la rue. Quand un des collaborateurs arrivent chez lui, grande panique. Si on voit qu’il a un chat, il risque aussi sa vie. Les félins c’est un signe de faiblesse. Pourtant, il aime trop son chat pour s’en séparer. Et enfin, on retrouve Godzichat, non pas en version grande taille comme Godzilla mais version à quatre pattes en surpoids.

Un manga qui est vraiment adapté aux passionnés de chats. Ils seront se reconnaître dans celui qui est prêt à tout pour faire plaisir à son compagnon. Et parfois même à faire des choses ridicules, comme cette star contente que son chat obèse écoute un ordre : ne pas bouger. Il y en a même un qui essaie de reproduire les gestes de son chat et qui finit à l’hôpital. Et oui, l’humain n’a pas la souplesse d’un félin. Lui il sait retomber sur ces pattes alors que pour les humains c’est une autre histoire. J’étais déçu de ne pas retrouver Godzicha car l’idée d’avoir un énorme monstre chat qui détruit une ville est assez drôle. Là, on se trouve plus le chat chef de gang qui terrifie les autres chats. Il n’a jamais besoin de bouger, un regard suffit à insuffler la peur.Je l’imagine bien avec une tenue type mafia avec une cigarette dans la gueule. Makoto Kobayashi ne manque jamais d’imagination pour construire chacune de ces courtes histoires qui se suivent. Ce qui permet d’arrêter quand on veut la lecture ou juste lire un récit. On peut même tricher et se concentrer que certains personnages que cela soit la famille de Michael ou l’homme qui vit en osmose avec son chat. A vous de voir.

Vous aimez les chats câlins, malins, filous, égoïstes et leurs maîtres qui sont un peu à leur image? What Micheals? risque alors de vous plaire.

 

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