La vie de Yamato est liée à un braquage. Il n’en savait rien jusqu’au jour où un homme meurt devant ces yeux. A partir de là, il décide de faire plus attention car les problèmes ne devraient pas être loin.
4e de couverture
10 décembre 1968 : Un vol de 300 millions de yens est commis dans une banque japonaise. L’auteur disparaît dans la nature… 2004 : un inspecteur, sur le point de mourir, révèle à Yamato, 10 ans, que son père est l’auteur du célèbre cambriolage… Il ajoute : « Ne fais confiance à personne » ! Quelques jours plus tard, on retrouve le corps mutilé du père de Yamato. 2010 : Yamato a 16 ans. Il découvre dans les affaires de son père un billet de banque qui provient du fameux casse ! C’est parti pour un terrible suspense à rebondissements, où se succèdent enlèvements, cavales et affrontements entre policiers véreux, bandits de la pire espèce et témoins récalcitrants…
Mon avis
Dès que l’on regarde la couverture, on sait que l’on va plonger dans un manga bien sombre. On va être servi et assez vite. L’histoire débute avec deux enfants qui découvrent un corps ensanglanté. L’homme en question parle au jeune garçon et lui parle de son ainsi que d’un cambriolage. Pourquoi lui dire ça? Est-ce vrai que son père est un voleur? En tout cas, le jeune Yamato prend en compte le conseil qui lui est donné, ne faire confiance à personne. Plusieurs jours plus tard, c’est le corps de son père qui est retrouvé. Le voilà orphelin et sans famille. Par chance, la famille de sa meilleure amie le prenne sous leur aile. Quelques années plus tard, il a lu tout ce qu’il y avait sur ce fameux cambriolage. Heureusement car cela lui donne des informations pour mieux comprendre l’horreur de la situation qui débute. Les parents adoptifs ont disparu et un flic corrompu est lié à cela. Comment s’en sortir quand la police est complice des criminels? Comment avoir des réponses quand on ne connaît pas l’étendu des enjeux? Le mystère est épais. Surtout que l’on avance progressivement avec de nouveaux éléments. Le scénario est bien construit pour nous tenir en haleine. On ne veut pas en rester là. A qui appartient cette argent? La mafia? Et à qui appartient le sang sur des billets? Les parents enlevés sont-ils encore vivants? Qu’ont-ils découvert?
Un manga qui dès la premier tome nous met en haleine et nous promet de l’horreur, de la souffrance et de la corruption.
L’avis de Les Blablas de Tachan : « Niveau ambiance, c’est violent et dérangeant avec un petit côté très réaliste et glaçant parfois, j’adore. »
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