Hiroko fait de son mieux pour profiter de chaque jour. Sa douceur permet de s’entourer de personnes qui apprécient cette attitude. Sa cousine se rend compte de la chance qu’elle a.
4e de couverture
Hiroko Ikuta, 29 ans, freeter (employé à temps partiel), a reçu en héritage une petite maison de plain-pied que lui a léguée une vieille dame avec laquelle il s’était lié d’amitié. Rejoint par Natsumi, sa jeune cousine qui vient d’arrive à Tokyo pour poursuivre des études d’art, ils entament sous le même toit une vie à la fois paisible et mouvementée !
« Dans mon entourage, il y a plein de gens qui veulent se la couler douce comme dans Hirayasumi, il faut que ça cesse ! » Hirokazu Kore-eda, réalisateur.
Mon avis
Le premier tome était une surprise de lecture. On a pris une belle leçon de vie avec un jeune garçon qui grâce à sa bonté d’âme a hérité d’une maison. Dorénavant, il n’habite plus tout seul. Sa cousine est là et ses débuts à la fac se passe bien. Elle est une vraie amie. Quelle plaisir de pouvoir partager des choses sincèrement. Pas besoin d’être tendance ou de fréquenter les gens les plus tendances et les plus creux pour trouver sa place. Natsumi manque encore de confiance en soi et explose par moment de colère. Elle claque la porte et elle sort ronchonner. Son cousin la connaît bien et arrondi les angles. Un personnage fait encore plus d’éclat avec Yomega. Une jeune femme de caractère qui ne se laissera pas marcher sur les pieds. Doucement, elle se rapproche d’Hiroko. On ne doute pas que quelque chose va émerger de ces affrontements. Le moment de lecture est très plaisant. Que c’est bon de ne pas avoir de situations clichés d’un autre temps et totalement absurdes. Rencontrer des personnages véritablement gentils, à l’écoute, dans la construction d’un monde meilleur sans que cela soit simpliste, quel plaisir. Alors on prend le temps de tourner les pages. Et surtout, on salive de plaisir à l’idée de pouvoir déguster quelques plats faits maisons qui ont l’air si délicieux. Avec tant d’élèments positifs, impossible de ne pas vouloir poursuivre la série.
Un tome qui fait du bien au moral et qui redonne le sourire.
22h05 rue des Dames 
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