Tomoko est une grande timide. Par conséquent, elle a bien des difficultés à dire non. Son coeur balance tout de même vers ce garçon singulier et audacieux.

4e de couverture
Elle, c’est Tomoko Hanno, surnommée Panko. Âgée de 30 ans, très timide, elle n’ose pas refuser les avances de son chef et les invitations de ses collègues. Lui, Takahashi, travaille comme réparateur de vélos dans son quartier. Lorsqu’elle le rencontre, elle trouve qu’il s’approche toujours trop près d’elle et qu’il est un peu insistant. Mais, bizarrement, ça ne lui déplaît pas…
C’est l’histoire d’un amour pur entre un gentil voyou et une fille peu sûre d’elle.

Mon avis
Rien qu’en regardant la couverture on se doute bien que l’on va avoir le droit à une histoire d’amour. Tomoko Hanno est d’une très grande timidité. Quand des hommes s’intéressent à elle et lui font des propositions, elle a bien du mal à refuser. Surtout qu’elle n’ose pas à être elle même. Le gars à la gueule de voyou ne l’a laisse pas indifférente. Surtout qu’il répare son vélo au mieux avec des produits japonais. Takahashi lui fait découvrir un restaurant où elle peut manger ce qu’elle veut et dans la quantité souhaitée. Il lui présente ces copains otaku. Cela lui fait changé d’avis sur lui. Pas besoin de se contrôler comme au travail pour cultiver les apparences. Quand elle va au cinéma avec un collègue, il lui impose un film pendant lequel il regarde son téléphone. Il se moque aussi de ceux qui aime Doraemon. Quelle injure! Elle le croise avec des amis au cinéma, elle est effondrée. En toute confiance, elle leur ouvre son coeur. A partir de là, une nouvelle dynamique se déploie où elle ose l’embrasser. Il y a un côté mignon et on s’attache au couple émergeant. Mais tout semble parfois aller vite. C’est assez rare qu’une mangaka ne prenne pas son temps. On a tout le cadre et tous les personnages. Maintenant, on attend de savoir si Tomoko veut aller plus loin et dépasser le regard des autres. On se laisse porter tranquillement par une lecture gentille et mignonne. C’est bon pour le moral et ces derniers temps, cela se montre au combien nécessaire.

Une gentille histoire d’amour entre deux personnes que tout oppose et que tout relie.

L’avis Les Blablas de Tachan : « Que voilà donc une excellente découverte ! Les couvertures m’avaient d’emblée attirée mais je n’étais pas sûre que l’histoire serait autre chose qu’anecdotique. Les valeurs transmissent par l’autrice dans ce premier tome m’ont convaincue du contraire. C’est une belle romance, très humaine, très pure aussi qui permet de réfléchir à notre rapport aux autres et à ce besoin qu’on a parfois de se fondre sans s’affirmer alors que ça nous fait mal. »

2 réponses à « Le vendeur du magasin de vélos – Tome 1 – Arare Matsumushi »

  1. Avatar de Bilan de mars 2025 – La p'tite autiste

    […] Le vendeur du magasin de vélos – tome 1 – Arare Mastsumushi : un petit avis sur un manga que j’avais commencé il y a quelques mois, par 22h05 rue des Dames. […]

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