22h05 rue des Dames

Garfield n’est pas un chat ordinaire. Toutefois, son propriétaire en est totalement fou de lui. Par conséquent, cela génère des problèmes à foison, plus improbable les uns des autres.

4e de couverture
On le sait depuis longtemps, mais voilà, c’est confirmé. Garfield fait le poids… sur le public ! Ses lecteurs sont plus nombreux que jamais et, depuis la sortie du film, une nouvelle génération le découvre et l’applaudit. Côté embonpoint, il est aussi toujours égal à lui-même. Sinon, Garfield ne serait plus Garfield !

Mon avis
Quand on pense bd avec des chats et leur propriétaire, on fait le lien avec Simon’s Cat de Simon Tofield. Jim Davis a fait aussi sa place dans le monde du 9e art grâce à ses compagnons à quatre pattes. Le succès est au rendez-vous, la preuve se fait avec ce quarantième tome et qui n’est pas le dernier. Garfield est très fainéant. Il ose toute l’impertinence nécessaire avec un flegme à toute épreuve. Son truc est de faire tourner en bourrique aussi bien son maître que le chien Olie. Les gags en une page ne sont pas d’une même qualité et parfois semble très redondantes. C’est sympathique sans pour autant être mémorable. Une fois de temps en temps pour se changer les idées, cela suffit.

Un tome qui divertie légèrement sans pour autant être mémorable.