Délires de choucroute dans la Nalsace – Roland Perret

L’histoire du monde n’est peut-être pas celle que l’on croit. Roland Perret décide de le montrer à travers sa bd autour du chou. Dans la Nalsace, on trouve bien des choses étranges.

4e de couverture
L histoire, drôle et documentée, du plus alsacien des plats Le retour du dessinateur et chroniqueur de la « Nalsace », ce petit monde rigolo et poétique qui nous apprend beaucoup de choses sur « l Alsace véritable ». Dans l esprit potache de la « Rubrique à brac » (Gottlieb), un reportage qui ne se prend pas au sérieux sur l histoire, la symbolique, la culture et la consommation de la choucroute. On y croise les Huns, les Chinois, les bâtisseurs de la cathédrale, des astrologues, des fées et des grands cuisiniers… Importantes opérations de promotion prévues. L histoire, drôle et documentée, du plus alsacien des plats Le retour du dessinateur et chroniqueur de la « Nalsace », ce petit monde rigolo et poétique qui nous apprend beaucoup de choses sur « l Alsace véritable ». Dans l esprit potache de la « Rubrique à brac » (Gottlieb), un reportage qui ne se prend pas au sérieux sur l histoire, la symbolique, la culture et la consommation de la choucroute. On y croise les Huns, les Chinois, les bâtisseurs de la cathédrale, des astrologues, des fées et des grands cuisiniers… Importantes opérations de promotion prévues.

Mon avis
Quand on a une bande dessinée très thématique et orientée sur l’humour, c’est prendre un risque de ne pas plaire à tout le monde. Il y a un public très friand de ce genre de chose. Ici, dès le titre et la couverture, le message est passé. On va tourner en dérision la choucroute et la Nalsace. Roland Perret a décidé de retracer des récits complètement fictifs qui passent des dinosaures, l’homme préhistorique, à James Cook jusqu’aux enfants dans les choux. Le bédéaste regorge d’imagination pour relier l’histoire du monde à un simple légume vert. On peut saluer cette capacité qui n’est pas donné à tous. Néanmoins, c’est difficile de s’accrocher car c’est inlassablement du non-sens. La seule envie est d’arriver à la fin car on n’en peut plus. Et on garde l’espoir que tout cela nous mènera à quelque chose ou va nous apprendre quelque chose. Au final, il n’en est rien. On veut vite passer à autre.

Une lecture très singulière qui sort des chantiers battus. Peut-être qu’il faut être de l’est pour mieux en rire.

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