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Gatsby
Francis Scott Fitzgerald
Editeur : Pocket
Publication: 10 avril 1925

A l’occasion de la prochaine sortie au cinéma du roman Gatsby, la lecture du livre s’imposait. Surtout que l’univers sera retraduit en couleur par Baz Luhrmann.

Nous voici dans les Etats-Unis de l’entre deux guerres, où la prohibition fait rage. Nick Carraway, trentenaire nous raconte une période de sa vie, de ces rencontres, de ces aventures. Un jour, il rencontre son voisin de demeure, Jay Gatz plus généralement nommé Jay Gatsby, homme mystérieux et populaire. Ce dernier organise des soirées de grand faste, où un soir il est convié. A partir de leur rencontre, une amitié va lier les deux hommes.

Toutefois, Gatsby se lie avec une arrière pensée, celui de revoir l’amour de sa vie, Daisy, la femme de Tom Buchanan. Elle est aussi la cousine de Nick.  Il va accumulé de l’argent, organiser de grandes réceptions pour reconquérir celle qui lui était encore inaccessible, il y a 5 ans de cela.  Une frontière du au statut social, elle est issue d’un milieu aisé et lui pauvre. Il rêve de l’a retrouvé en regardant la lumière verte au bout de la jetée. Mais la passion amoureuse, surtout extra-conjugale ne mène pas forcément au bonheur.

Un roman très agréable à lire. Je me voyais très bien dans les années 20 avec du jazz en fond sonore. Un homme qui cherche à reconquérir un amour plus lié à un souvenir, doux et délicieux. Le fait que l’histoire soit raconter par une tiers personne, apporte un plus. On ne soutient pas forcément ce Gatsby, on le découvre au fur et à mesure, on entend ce que raconte les gens présents à ces soirées. La description des lieux, des voyages, de l’hypocrisie de la société mondaine est assez bien illustrés de mots si bien trouvés. Bref, j’ai été conquise… peut être bientôt une nouvelle lecture de Francis.