22h05 rue des Dames

La plongée, n’est pas la seule chose qui lie les amies. Il faut prendre confiance en soi et avancer dans la vie car la prise de risque est quasiment nulle. Rien de telle pour renforcer la confiance et la solidarité.

4e de couverture
Tout le club se rend à Ôsezaki pour la première plongée en mer de Futaba. D’abord effrayée à l’idée de s’enfoncer dans les profondeurs de l’océan, la jeune fille reprend vite du poil de la bête et obtient avec succès son premier brevet de plongée ! Mais voilà que l’été approche à grands pas et, avec lui, les vacances tant attendues. Tant attendues, vraiment ? Pour Futaba, elles sont plutôt synonymes de longues journées ennuyeuses loin de ses amis… Heureusement, Hikari est là pour ajouter à son quotidien une bonne dose d’imprévu !

Mon avis
A nouveau, le manga qui traite de plongée, parle au final assez peu de cette pratique sportive. Par contre, les détails sont très nombreux pour en faire en toute sécurité. Là, on a le droit à une séance pour apprendre à se repérer dans le fond des eaux avec une boussole. Un élément au combien important surtout quand on voit assez peu. Cela peut servir aussi bien de jour comme de nuit. D’ailleurs, on sait que l’on assistera à une séance de plongée en pleine nuit plus tard. Une séance qui promet d’être risqué et maîtrisé à la fois. On voit des plongeurs qui partent en pleine nuit faisant apparaître des lumières en pleine nuit. C’est assez beau comme rendu même si c’est en noir et blanc. Par contre, on peut se demander si c’est une pratique judicieuse. Pourquoi faut-il nuire à l’équilibre des animaux marins pour un simple loisir? Les plongeurs ne devraient-ils pas être des défenseurs de la nature et de la biodiversité? En tout cas, ces problématiques ne sont jamais abordées. C’est pour ça que l’on se consacre sur l’évolution de l’amitié et la peur de ne pas être assez à l’hauteur. Elles ont peur de ne pas être assez bien. Heureusement qu’elles sont toutes belles, minces, une taille de rêve et aussi avec une belle poitrine. Kozué Amano n’hésite pas à faire des gros plans sur des poitrines généreuses. La perversion est toujours présente et cela ne sert à rien dans les courtes histoires.

Une lecture facile qui change les idées sans être mémorable.