
David Hockey a su faire son réseau pour gagner en notoriété. Il est ouvert à tous les arts et s’y pli avec délectation. Michael Peppiatt se remémore ces moments où ils se sont croisés.
4e de couverture
L’auteur relate sa rencontre avec D. Hockney lorsqu’il vivait dans le quartier londonien de Notting Hill, alors un quartier difficile, voire dangereux. Il raconte notamment comment l’artiste a su transformer son atelier en un brillant lieu de rencontre de personnes très différentes.
Mon avis
David Hockney a su faire sa place dans le monde de l’art. Dés son plus jeune âge, il a appris que pour réussir, il faut bien s’entourer. Son charme naturel opère et est dans tous les endroits importants. Grâce à ça, ces expositions avaient toujours du public et des critiques élogieuses. Qu’importe à quoi il s’attaque, cela rayonne. Michael Peppiatt relate l’ensemble des rencontres qu’il a fait avec l’artiste sur toute sa vie. Cela ne s’est pas fait tellement car il n’y a que 32 pages. On n’apprend pas grand chose. D’ailleurs, on vient même à se demander qu’elle est l’intérêt même de la lecture. C’est plutôt l’auteur que l’on découvre avec son métier et ses affinités. Alors si on veut en savoir plus sur le peintre, il faut se plonger dans d’autres ouvrages. Surtout que l’éditeur L’échoppe ne coupe pas ses pages. C’est à nous de le faire.
Une lecture curieuse qui ne donne pas très envie de découvrir les autres publications de l’éditeur.
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