Kimitaka reprend de la confiance en lui. Il emmène avec lui ses nouveaux copains d’école. Timidement, il se rapproche de celle qui lui a insufflé son courage.

4e de couverture
Une danseuse à la retraite. Une blessure au genou. Un studio qui tombe dans l’oubli.

Kimie Morino pensait avoir laissé derrière elle ses rêves de flamenco jusqu’à ce qu’elle trouve, sur le pas de sa porte, un jeune garçon la suppliant de lui apprendre à danser.

Afin de racheter ses erreurs et de faire honneur à Takara, Kimitaka va devoir convaincre Mme Morino de remonter sur scène…

Mon avis
Le premier tome nous avait tenu en haleine avec des adolescents subissant du harcèlement scolaire et du mal-être. Kimitaka décide de vaincre sa peur grâce au soutien de sa famille. Donc il tente le cours de danse de flamenco avec des chaussures de filles. Kimie Morino voit de nouvelles choses se profiler malgré son âge. Elle a transmis la passion de la danse à son petit fils. Mizu Sahara a choisi de le représenter très féminisé. Faut-il ressembler à une femme pour justifier aimer la danse? Surtout qu’il semble assez expert vu qu’il souhaite en faire son métier, au grand damne de sa mère. Sa grand-mère, ne peut plus donner de cours pour l’instant. Il s’en occupe avec rigueur. Les amis de Kimita se fait virer de leur club et c’est obligatoire d’avis une activité quand on est en seconde. Ils rencontrent les élèves d’un club de flamenco qui subissent du harcèlement scolaire. Ce que l’on ne connaît pas effraie et donc amène à des comportement agressifs. Mais ces jeunes sont assez motivés pour ne pas tenir compte de ces étroits d’esprit. Ensemble, ils commencent à s’approprier les prémices. La mangaka met un brin d’humour pour faire passer les choses plus facilement. Même quand la petite soeur subit le rejet de son amie car jalouse, elle garde l’espoir et le sourire. Une jolie approche pleine d’espoir face à l’injustice et la bêtise.

Un tome qui donne envie de poursuivre la série pour retrouver les personnages si attachants.

L’avis Les Blablas de Tachan : « Kimitaka, qui s’est réconcilié avec sa famille, peut enfin se consacrer à son désir d’apprendre à danser le flamenco. C’est l’occasion de la formation d’une vraie petite bande autour de lui qui rend le titre de plus en plus lumineux. »

Laisser un commentaire

Bienvenue dans cette immersion dans le monde fabuleux du 9e art.