Tout commence par un petit meurtre entre amis. La guerre débute et c’est un nouvel équilibre qui se met en place. Pendant ce temps, Adèle sommeille.

4e de couverture
Dans cet album, nous suivons les tribulations de Lucien Brindavoine, chargé par la momie d’Adèle Blanc-Sec de réveiller cette dernière alors cryogénisée. Mais cette mission se révèle loin d’être simple pour Lucien : entre la guerre qui fait rage, l’alcoolisme qui l’affaiblit, le Professeur Dieuleveult qui cherche par tous les moyens à tuer Adèle, la mafia… Lucien rencontrera bien des obstacles. Pourra-t-il remplir sa mission ?

Mon avis
Tout commence sur les chapeaux de rue comme d’habitude. Un petit meurtre dont pour l’instant on ignore la raison. Progressivement, le récit se dévoile avec des visages que nous avons déjà vu. Du moins, on le sait car on nous l’explique. Les méchants et les grands candides restent toujours en action. Mais comme tout le monde se ressemble et il est parfois difficile de savoir qui est qui. On peut se sentir perdu. Jacques Tardi décrit encore et encore. Parfois, on vient même à se demander à quoi sert l’image. Les descriptions n’arrêtent pas et il n’y a rien à envier à « Blake et Mortimer ». Le mystérieux a encore sa place et se tapisse partout. Cela prend des proportions importantes quand il est question de vie éternelle. Tous ces vieux briscards qui sentent la mort se rapprocher veulent le secret. Qu’importe s’il faut tuer au passage Adèle Blanc-Sec, c’est toujours une épine en moins dans le pied. L’héroïne apparaît un peu totalement nue. Elle sera sauvée par sa momie de compagnie. Rien n’est très palpitant encore une fois. L’espoir reste présent au vu du nombres de tomes restant à lire.

Un tome pas très convaincant une nouvelle fois. L’ennui est long et ne semble jamais en finir.

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Bienvenue dans cette immersion dans le monde fabuleux du 9e art.