Le chat de Simon est d’une grande ingéniosité. Il sait comment faire tourner en bourrique son propriétaire. Quand il part à la campagne, l’air à une autre saveur.

4e de couverture
Pour le chat Simon, l’heure de l’émancipation a sonné ! Inutile de le retenir, sa décision est prise. Aujourd’hui, il quitte le domicile familial à la découverte du monde. À lui, l’indépendance ! Le temps de préparer son baluchon et vous pourrez le retrouver dans de nouvelles aventures félinement drôles.

Mon avis
Il n’est pas nécessaire d’avoir du texte pour apprécier les aventures du chat de Simon Tofield. Les chats ont toujours leur petit succès. On les aime tellement que l’on a même tendance à leur donner beaucoup de liberté. Ils savent aussi comment avoir ce qu’il souhaite. On croit qu’il veut un câlin, juste une technique pour récupérer le fauteuil pour une sieste. Un très grand stratège qui amuse au combien les lecteurs. Tous les humains ayant des chats auxquelles ils sont à leur service se retrouveront dans plus d’une situation. Mais là nous avons un peu de plus de vue sur le matou. Car il part à la campagne et découvre que les matous des fermes sont bien différents. Il n’y a pas de petites souris là on est face à des gros rats, bien laids. Les vaches donnent du lait et aussi des grosses bouses. Tout est prétexte à amusement et chasse. Le sourire ne nous quitte pas. Comment ne pas être attendri par ce félin filou? On sourit et on rigole aussi de l’ingéniosité des lapins, de l’espièglerie des hérissons et de la débrouillardise des oiseaux. Il n’y a pas qu’un simple jeu du chat et de la souris.

Une bd qui se dévore rapidement et dans lequel on replonge avec plaisir.

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Bienvenue dans cette immersion dans le monde fabuleux du 9e art.