
Un nouveau drame est arrivé. Un orphelinat a brûlé avec à l’intérieur un cadavre un peu particulier. Et aussi un autre corps qui ne semble pas relié à l’affaire. Qu’est-ce que cela cache?
4e de couverture
Le crime n’échappe pas à la science ! Adapté en série TV au Japon en 2019 ! Reiji Mano a intégré la CSI, la cellule spéciale d’investigation, qui réunit des experts provenant de tout le pays. Cette fois-ci, l’équipe d’experts est dépêchée sur le lieu d’un incendie, qui semble avoir été provoqué par Hiroki Dan. Le corps d’un homme et un briquet taché de sang sont retrouvés au milieu des cendres. Finalement, un deuxième corps est découvert non loin de la première scène de crime.
Serait-ce également l’oeuvre de l’ancien directeur du bureau des enquêtes criminelles ?
Mon avis
Une nouvelle fois, on rencontre notre team au complet. Hiroki Dan est de retour et laisse de nombreux indices afin que l’on puisse l’identifier. Un coupe un bras et une jambe à un gros pervers vicieux à tendance pédophile qui dirige un orphelinat, puis on le fait brûler vif. Il a eu le temps de profiter de grandes douleurs. La position du cadavre n’est pas sans rappeler une ancienne affaire. Et au cas ce n’était pas assez risible, il laisse une goute de sang. Les analyses ADN ne manquent jamais. Pourquoi a t’il choisi ce lieu?
Kei Koga sème des petits cailloux pour créer des rebondissements à chaque tome pour éviter une forme de répétition. Là, un lien entre le meurtrier en série, Reiji Mano et un autre tiers apparaît. On comprend enfin pourquoi le sociopathe s’est intéressé à la famille du médecin légiste. Mais le mangaka ne s’attarde pas trop sur cette partie. C’est un bonus à l’enquête en parallèle de l’autre avec le corps trouvé à proximité. Le lecteur connaît toute la vérité et est bien triste de cela. Car derrière ce meurtre, on trouve un père indigne maltraitant sa fille unique, des enfants solidaires et une encadrante avec le coeur sur le main. Et aussi ce gros pervers vicieux qui a crâmé qui a vu ce qui s’est passé et qui faisait du chantage à sa subordonnée. Il pouvait ainsi la violer à souhait. Encore une image de gros dégueulasse qui apparaît et qui se croit tout puissant abusant des femmes à loisir. On va finir par croire que les japonais ne valent pas mieux que les autres. Par contre, nous ne savons pas les suites judiciaires. La demoiselle va t’elle finir en prison pour avoir protéger une enfant de son père violent?
Une lecture qui nous touche au coeur face à l’horreur de l’humain.
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