Le trio de copines n’est pas au bout de ces peines. La trentaine amène à se poser de nombreuses questions sur leur avenir. Trouver l’amour et un mari, c’est surement encore possible.

4e de couverture
Y a qu’à faire ci, faut qu’on fasse ça… À force de se rassurer mutuellement sans jamais passer à l’action, Rinko, Kaori et Koyuki n’ont pas vu le temps passer et, à 33 ans, elles ne savent plus comment on fait avancer ses pions sur l’échiquier des relations amoureuses. Découvrez la suite des tâtonnements tragi-comiques de ces trentenaires tokyoïtes en quête d’amour !

Mon avis
Rinko a passé une très bonne soirée avec ce jeune mannequin. Mais qu’en est-il après une nuit de folie et de sexe? Elle n’en sait rien. Doit-elle l’appeler? Elle n’a pas son numéro. Que faire? Est-ce que c’était sérieux ou juste bon pour une soirée? Malheureusement l’alcool n’aide pas à avoir des réponses claires. Quand elle rencontre à nouveau le beau gosse, elle ne sait pas comment réagir. Dans le cerveau, les scénarios possibles passent à toute vitesse. Kaori et Koyuki ne sont pas en reste. Elles aussi avaient envie de s’envoyer en l’air. Le fait que cela soit d’un côté un homme marié ou soit de l’autre côté un homme fiancé n’arrange pas les choses. Faut-il se réduire à des situations complexes à cause de leur âge? Elles peuvent en tout cas se poser des questions. Cela amène à des conflits entre copines. Les tensions sont palpables. Toutefois Akiko Higashimura n’omet pas le côté le plus important de sa série : l’humour. On s’attache à ces nanas franches et complices. Les langues se délient autour de l’alcool et des soirées entre elles. On s’amuse de ces moments de connivence et de disputes. Qui aime être mise au pied de ces propres contradictions?

Un josei drôle, pétillant parfois un peu cliché qui nous change les idées. Les nanas peuvent être chiantes mais ce n’est pas toujours facile se supporter la pression sociale sur son statut de célibat.

L’avis Les Blablas de Tachan : « Ainsi, cet esprit de sororité que j’ai ressenti, aidé par le développement des personnages secondaires, m’a fait retrouvé ce que j’avais tant aimé dans le groupe d’héroïnes de Complément affectif. Je suis comblée ! »

L’avis de l’Apprenti Otaku : « un élément qui caractérise Akiko Higashimura dans tous ses titres disponibles en France (les deux concernés ici, mais aussi Princess Jellyfish et Le Tigre des Neiges, que j’ai commencé également en 2020) est son humour absolument décapant, et qui a en plus cette qualité d’être toujours adapté à la tonalité globale des séries. Car chacun de ses titres a vraiment un ton différent, et si l’humour est une constante, Akiko Higashimura l’adapte afin que cela soit toujours en phase avec son storytelling global. »

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