
Face à l’injustice, Anna ne peut pas rester à ne rien faire. Pour attraper un voleur, elle met un masque afin de rester anonyme. Voilà comment une héroïne naît sous les yeux du public.
4e de couverture
Rien ne va plus à New York : le chanteur Bruce Wintersteen a perdu sa guitare à Central Park, la créatrice de mode Chacha s’est fait voler ses vêtements dans le Fashion District, et les recettes d’une pièce de théâtre sur Broadway ont disparu. Heureusement que la super-heroïne Green Goddess est là pour défendre sa ville !

Mon avis
Apprendre une langue est bien souvent difficile pour les plus jeunes. Mais une bande dessinée bilingue est un excellent outil pour les inciter à apprendre dans la bonne humeur. On découvre Anna qui travaille dans un cirque est d’une grande souplesse. Rien de tel pour permettre de courir après un voleur. Elle prend le masque de la statut de la liberté ce qui lui vaut le surnom de Green Goddess. A partir de là, elle devient une héroïne qui poursuit deux méchants dont un habillé en grenouille et l’autre en magicien. Ils s’allieront même avec des adolescents vulgaires et malpolis. La demoiselle leur a appris les bonnes manières comme ne pas jeter dans la nature ces déchets. Grâce à sa dextérité et son écureuil domestique, elle aide la police.
Les histoires sont assez courtes et se suivent. Les contextes restent toujours expliqués en français et les échanges en anglais. Cela reste très accessible surtout que c’est à destination des enfants à partir de 8 ans. La bd se prête bien à se genre d’exercice. De plus, l’éditeur Chatyycat y adjoint des petits jeux sous un angle culturel avec des comparaisons avec des erreurs. C’est assez bien malin et amusant à faire. On trouve même des références à l’art comme la vague d’Hokusai avec des déchets dedans. C’est drôle et pertinent. On passe un bon moment et on a envie de lire d’autres ouvrages.
Une lecture qui permet de donner envie d’apprendre l’anglais en s’amusant.

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