Klaw – tome 1 : Eveil – Antoine Ozanam et Joël Jurion

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Depuis ses 10 ans, Ange Tomassini traîne un lourd secret: quand il est menacé, il lui arrive de se transformer en homme-tigre, pour un résultat sanglant… Mais rien n’est avéré, et le jeune homme ignore qu’en réalité, si tous le craignent, c’est parce que son père est l’un des plus gros mafieux de la ville. Il lui reste beaucoup à apprendre sur sa « Famiglia », et sur Dan, son mystérieux garde du corps…

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La fille qui dévorait les livres – Pierdomenico Baccalario

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Dans un coin perdu, de l’autre côté des Alpes, vivait une fille qui dévorait les livres comme des beignets au sucre. Elle passait ses journées à la bibliothèque du village. Ce lieu, son refuge, abritait des milliers d’ouvrages qu’elle engloutissait l’un après l’autre.

Dans ce même coin perdu, vivait un vieil homme solitaire. Il rêvait d’écrire un roman parfait, une histoire incroyable, capable de conquérir le cœur de jeunes lecteurs. Pour cela, il avait besoin de l’aide d’une lectrice très particulière. Et Antonino, le solitaire, rencontra Domitilla, la fille qui dévorait les livres..

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Une douce couverture où l’on voit une jeune fille serrant prêt de son coeur un livre et ce titre : La fille qui dévorait des livres, comment résister? Je n’ai pas pu et je me suis laissée doucement à la lecture de ce roman jeunesse qui parle du plaisir de la lecture et de l’échange intergénérationnel.

La lecture de ce livre, c’est faîtes suite à la réception d’un mail d’une copine. Elle m’a dit qu’elle avait trouvé ce livre à la médiathèque et qu’il lui avait fait penser à moi. Alors, direction la médiathèque du coin pour trouver le livre et le lire. Trois jours plus tard ce dernier était fini.

35 chapitres qui racontent l’histoire d’une rencontre entre une jeune fille, grande lectrice à la bibliothèque et un vieux du village, M. Antonio qui écrit un roman. C’est la bibliothécaire qui les a mis en relation. L’un raconte l’histoire qu’il écrit chapitre par chapitre et la demoiselle écoute tout en faisant des remarques.

Chaque chapitre commence par le nom d’un personnage du roman comme Naquet ou Jara. Cela correspond au chapitre du roman que le vieux écrit et qu’il va lire à Domitilla. A la fin de la lecture, elle fait ces remarques. Au début, elle est très dure et distante puis au fur et à mesure elle passe d’un sentiment de peur et d’inquiétude à celui d’affection profonde et sincère.

Elle s’attache de plus en plus au personnage et ne peut plus attendre plusieurs jours pour savoir ce qu’il va se passer. D’ailleurs, elle ne va pas hésiter à exiger qu’il change littéralement certains passage pour tous les héros ne meurent pas et surtout qu’il puisse y avoir une histoire d’amour. Ben, oui, les lectrices filles ont besoin d’histoires d’amour qui finissent bien. Merci l’auteur d’oser glisser ce genre de phrase dans la bouche d’une petite fille.

Heureusement que l’histoire se passait au temps des romans et non dans un siècle pas si loin. Sinon, elle aurait rêver de trouver une génial histoire d’amour avec une femme qui reste enfermée à la maison pour faire le ménage et préparer le manger en attendant son doux mari le soir. Et après souper, il souhaitera rester seul pour mater youporn avec un rouleau d’essuie-tout.

Ouf,  nous partons dans le passé où des jeunes héros se battent pour la liberté de leur ville accompagné d’un chien légendaire : Bayard. Un combattant, un jeune adolescent qui passait juste à l’âge adulte s’est entouré d’amis fidèles et courageux pour lutter contre la sauvagerie et l’injustice. Heureusement tout va bien finir pour tous le monde.

Il m’a fallu quand même une centaine de pages pour pour rentrer quand même dans le roman. Le personnage de Domitilla m’a semblé trop cliché et terriblement cloche avec ces remarques faciles sur la littérature jeunesse. Comment une très grosse lectrice peut dire que les enfants ne veulent pas que le diable soit abordé dans les romans car on sait qu’il n’existe pas ou qu’il faut une histoire d’amour pour les filles. A croire que c’est une grande lectrice de Martine ou de Oui-oui.

Par chance, l’histoire se développe et la cruche fait de moins en moins de remarques crétines. J’ai beaucoup aimé les clins d’oeil à la littérature par le biais des objets présents dans la maison du vieux comme le lit de Little Nemo qui donne un peu de poésie au roman. Puis moi, aussi, je me suis laissée séduire par l’histoire pour savoir comment allait finir cette aventure même si bien entendu aucune surprise en perspective.

Une lecture en demi-teinte avec des images trop clichées pour moi où la femme n’est pas forcement plus niaise ou incompétente qu’un homme. Mais l’histoire parallèle se laisse lire quand même et incite tout de même à lire. Toutefois, ce n’est absolument pas un incontournable de lecture.

 

De l’amour filial en général et de mon papa en particulier – Cécily et Bidoch’

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Les histoires de filles et de leur papa, c’est rarement simple.Mais vu des deux côtés, c’est souvent plein d’humour. Pour la première fois en BD, une fille et son père discutent, s’affrontent et s’aiment … bref, règlent leurs conflits par BD interposée.Enfance, adolescence et âge adulte : fourmillant d’anecdotes, de témoignages touchants, cet album traverse 3 âges de la vie pour offrir une pépinière de souvenirs, de moments tendres, parfois amusants et toujours émouvants.

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Les relations père-fille ne sont pas toujours faciles. Alors Bidoch’ et Cécily ont décidé d’en faire une bande dessinée pour raconter l’évolution de leurs rapports dans le temps. Avec une pointe d’humour, ils essaient de nous faire de situations cocasses qui respirent le vécues.

L’histoire débute avec la relation père et la petite fille dans les années 80, qui a déjà un sacré caractère. Il essaie d’être un bon père mais ce n’est pas facile, surtout lorsqu’on conserve un côté contestataire en soi. Puis vint l’adolescence et le côté très rebelle de la jeune fille qui trouve que la vie est trop difficile, que tout est trop injuste, qu’elle n’aura jamais son baccalauréat. Elle devient insolante, se colore les cheveux de toutes les couleurs et sort avec de nombreux garçons. Puis enfin, l’âge adulte où enfin, elle s’épanouit comme dessinatrice et doit supporter son boulet de père.

En effet, c’est un sujet assez original de raconter la vie et les rapports qu’une fille peut entretenir avec son père. Tout me paraissait facile dans les idées, dans les clichés. J’ai bien senti une volonté de vouloir faire rire toutefois page après page, l’ennui me gagne et je n’ai qu’une seule hâte, finir le livre. Déjà, j’ai du dépassé le dessin que j’apprécie pas beaucoup, heureusement les couleurs sont sympathiques. Mais cela ne suffit pas pour porter un quelconque intérêt à tout ce qui se passe. Alors le plus grand bonheur, c’est quand j’ai pu fermer le livre. Et il sera complet lorsque je vais le troquer contre un autre ouvrage.

Alors si vous souhaitez trouver un livre un peu ennuyant sur fille-papa vous savez qu’elle bande dessinée choisir. Sinon, passez votre chemin, des bd géniales il y en a tout plein.

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Trente-six chandelles – Marie-Sabine Roger

98292756Titre  : Trente-six chandelles 
Auteur : Marie-Sabin Roger
Editeur : Editions du Rouergue
Date de publication : 20 août 2014
Nombre de pages :  278

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Mortimer s’est préparé à mourir le jour de ses 36 ans, comme cela a été le cas pour tous ses ascendants mâles. Il a quitté son travail, rendu son appartement et vendu sa voiture mais la malédiction ne s’abat pas sur lui. Que reste-t-il à faire, lorsque la mort attendue ne vient pas? Il faut apprendre à vivre vraiment!

Après ses précédents succès, notamment « La tête en friche » et « Bon rétablissement », tous deux adaptés au cinéma par Jean Becker, Marie-Sabine Roger revient avec un roman plein d’humanité, aux personnages émouvants, croqués avec humour et justesse. Une belle réflexion sur le sens de la vie!

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Marie-Sabine Roger décide de proposer un récit un peu étonnant avec Trente-six chandelles. Elle raconte d’une façon originale et simple à la fois, l’histoire d’un homme qui prépare toute sa vie à mourir à l’âge de 36 ans tout comme les personnes de sexe masculin de sa famille. Bien entendu, tout ne va pas se passer comme prévu.

Mortimer Decime, décide le 15 février de clôturer sa vie. Il démissionne, quitte son appartement et met son plus beau costume pour attendre la mort. Pas de femme et pas d’enfants. Pourquoi reproduire le traumatisme qu’il a subit petit. Mais voilà, petit chapitre par petit chapitre, l’heure fatale approche. Et rien ne se passe. Une de ces amie est là et ne comprend pas son comportement. A partir de ce moment, un nouvelle histoire doit se créer et comment faire face à la vie. Alors, il part à la recherche de son histoire familiale et décide d’affronter l’amour, le vrai. Par chance, entouré de ces amis il va enfin pouvoir se projeter dans un avenir incertain.

Envie d’une bonne couche de bons sentiments sur une toile de fond qui peut rappeler Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain? Alors vous trouverez votre bonheur ici avec quelques bons mots, un langage très accessible, de l’amitié sincère de gens qui ont eu des parcours difficiles, un amour original avec une femme un peu loufoque et une famille un peu étrange et rigolote. L’homme quelconque, le héros improbable possédant un prénom légèrement morbide, va alors à 36 ans découvrir les joies de la vie qu’il s’est toujours interdit. Un apprentissage pas facile toutefois avec de la volonté, on peut aller au delà de ces peurs.

Le plus original dans le livre vous l’aurez compris n’est pas l’histoire, ni le titre, si intriguant soit-il, mais la mise en page avec courts chapitres avec des titres rigolos. En effet, cela donne du dynamisme mais le récit me semble trop gentil et parfois un peu trop niais. Il faut mettre un peu d’enchantement dans ce monde, certes, mais j’aurais apprécié un peu plus de fantaisie qui pourrait se rattacher au monde réel et non à celui des bisounours.

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Merci pour cette découverte à Price Minister

L’avis de Bricabook

 

Dans les rapides – Maylis de Kerangal

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Le Havre, 1978. Elles sont trois amies: Lise, Nina et Marie, la narratrice. Lycée, garçons, aviron, la vie quotidienne. Un dimanche de pluie, elles font du stop, et dans la R16 surgit la voix de Debbie Harry, chanteuse de Blondie. Debbie, blonde, joueuse, sexy, Debbie qui s’impose aux garçons de son groupe, Debbie qui va devenir leur modèle. Jusqu’au jour où Nina découvre l’amour et la voix cristalline de Kate Bush qui, d’un coup de pied romantique et pop, vient fissurer le trio jusqu’ici soudé comme un roc.

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La musique peut être un point commun de partage entre amies mais aussi un point de discorde. D’ailleurs, Lise, Nina et Marie vont en faire l’expérience et ainsi ce que la musique a lié, peut aussi le défaire.

Le Havre, ville béton, possèdes des airs bien tristes en hiver. Lorsque trois copines, Lise, Nina et Marie, 15 ans, font du stop ont un choc lorsqu’elles grimpent dans une Renault 16, verte pistache. Qu’elle est cette musique qui passe en fond sonore? Un rock chanté par une fille et qui bouge. C’est le choc partagé. A partir de ce moment, ces jeunes filles en mode rebelle, ne vont plus pouvoir respirer sans se procurer Parallel Lines de Blondie. Le vinyl s’écoute en boucle, les textes se font traduire en française. Cette chanteuse incroyable dirige son groupe, composé d’homme. Il faut découvrir tout ce qu’elle a fait aussi bien dans sa vie privée que dans sa vie artistique. L’effusion va doucement rencontrer la séparation, lorsqu’une des jeunes filles va tomber sous le charme de Kate Bush avec sa voie de cristal et ces chansons romantiques.

A travers le regard de Marie, on part à la rencontre de jeunes filles en quête de vie, de sensations et de réponses. Leur rencontre avec la musique les bouleverse et l’auteure Maylis de Kerangal  traduit avec talent ces moments de troubles et de joie mélangées. Je découvre l’enthousiasme et les projets des jeunes adolescentes quand on a 15/16 ans comme partir à New-York, le rêve d’un ailleurs ou trouver l’amour. Les pages se tournent avec simplicité avec de courts paragraphes aux titres de chansons de Parallel Lines de Blondie et The Kick Inside de Kate Bush. Mais ce qui est le plus surprenant, c’est qu’un fur et à mesure, l’envie d’écouter de la musique s’insinue doucement dans l’esprit. Et le refrain d’Heart of Glass de Blondie se fait entendre même lorsque je finie le roman.

Un livre assez étonnant sur la musique et les jeunes avec leurs espoirs, leurs déceptions, leurs attentes d’un futur radicalement différent du moment actuel. Et puis, c’est une bonne occasion de réécouter aussi Blondie et Kate Bush.

 

Sous mon lit il y a…un voleur de chaussettes ! – Alexandre Gimbel

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C’est quoi cette bestiole ? Et pourquoi il a une chaussette sur la tête ? Et où est-ce qu’il vit ? Et qu’est-ce qu’il mange ?

Et pourquoi je perds mes chaussettes ? Et pourquoi…

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Vos chaussettes disparaissent souvent et vous n’arrivez pas comprendre ce phénomène? Alexandre Gimbel va vous proposer une exploitation à travers son livre Sous mon lit il y a… un voleur de chaussettes!. Etes-vous prêt pour la révélation?

Je ne doute pas un instant que l’auteur et dessinateur, a été influencé par des livres représentants les habitants des forêts ou de mondes imaginaires. Car c’est avec un style bien particulier, comme on le peut le découvrir sur la couverture, que va nous être présenter les différents habitants qui peuvent peupler les maisons. Ils peuvent vivre partout et chacun à ces particularités comme bouger les objets de place, emmêler les cheveux ou voler les chaussettes.

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On va découvrir Lo’, chapardeur de chaussettes, nyctalope, grognon, tout petit (20 cm) avec juste deux bras sans jambes. Il adore manger des cafards, des cloportes, des araignés et des verres de terre et par chance à horreur des bonbons et autres sucreries. Sur lui, vit des compagnons à un peu loufoque qui aiment bien rire et manger les poux ou tiques qui peuvent venir chercher un nouvel habitat. Si ces bestioles ne sont pas sages, il suffit de mettre une chaussette sur la tête et après ils dorment. Bien entendu, parfois certains de bébêtes peuvent rencontrer des femelles et fonder une famille.

Un petit livre jeunesse bien sympathique qui m’a plu dès son titre. Car j’avoue, je vais dormir avec mes chaussettes et que pendant la nuit, elles me quittent et migrent en bas du lit et parfois je ne les retrouve pas. J’ai trouvé l’explication logique à cela. On me les vole. Je ne doute pas que les enfants et les grands tombent sous le charme de partir à la découverte des habitants de chez soi et de chez les autres. En plus, il ne faut pas avoir peur de ces locataires que l’on n’entend ni ne voit. Ce charme n’opère dès la première page, mais je me suis laissée séduire au fur et à mesure. Alors c’est avec un sourire que j’ai refermé le livre et des rêves pleins la tête.

Alors si par hasard, vous découvrez ce livre où que vous souhaitiez soutenir la maison d’édition La poule qui pond laisser vous tenter par la fantaisie et l’imagination.

 

Lucika Lucika – Tome 1 – Abe Yoshitoshi

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Lucika est folle, complètement folle, comme tous les enfants le sont un peu : infiniment curieuse, jamais à court d’idées saugrenues, prête à regarder le monde au travers d’un prisme déformant d’une fraîcheur extraordinaire, elle déclenche des catastrophes à répétition autour d’elle. Découvrez la guerre farouche qui l’oppose à l’armée d’invasion des + de son cahier de mathématiques, sa manière très personnelle d’interpréter la fin d’un rouleau de papier toilette, ou son émouvante commande au père Noël !Vous ne risquez pas d’oublier Lucika de sitôt : source inépuisable de fous rires assurés, l’univers décalé et absurde de cette gamine provoque une immédiate et irrépressible retombée en enfance.

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Lucika habite avec son frère et sa soeur dans une petite maison au Japon. Sa vie se trouve remplie d’aventures et de rencontres improbables pour le monde des adultes. Prêt pour une aventure assez atypique.

Abe Yoshitoshi a toujours rêvé de faire un manga en couleur. Il l’a concrétisé avec une série consacrée à une petite fille blonde avec de grands yeux rouges. Un lapin albinos ne l’a pas mordu. Quoi que cela pourrait peut-être expliqué certaines apparitions qu’elle voit. Elle va entendre la voie du Daruma qui est content qu’elle lui ai gribouillé des points noirs partout où elle voit un esprit dans le jardin qui occuperait ces chaussures en bois. L’imagination de la petite fille n’a pas de limite et déroute bien souvent sa famille qui ne l’a comprend pas vraiment.

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Une lecture un peu déroutante par sa mise en couleur qui va jusqu’à la coloration des bordures de pages. Puis par la structure qui se trouve être une succession de petites histoires des aventures de Lucika qui fait des bêtises ou qui fait des choses un peu absurdes comme tout enfant. Je pense que ce manga s’adresse à des jeunes lecteurs qui ont commencé la lecture depuis pas trop longtemps. Une sorte de Keroro pour fille avec une héroïne attachante et maladroite. Pas beaucoup de texte qui d’ailleurs ne nuit pas du tout aux histoires.

Une découverte sympathique qui va s’arrêter au tome 1 car je crois être vraiment trop grande pour lire une série si simple qui plaira à ravir à de plus jeunes lecteurs. Ses maladresses feront rire avec certitude des enfants à partir de 8 ans qui va leur rappeler leur bêtises où celles de leurs petits-frères/soeurs. A mettre dans les mains des plus jeunes pour leur donner envie de lire et d’avoir des livres adaptés à leur âge.

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